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26 juin 2023 1 26 /06 /juin /2023 05:56

  

 

   Pour notre plus grand bonheur, les coquelicots font leur retour dans le paysage champêtre, et c’est une bonne nouvelle pour la biodiversité.


   Après avoir quasiment disparu des champs de blé et d’orge pendant plusieurs années, la plante herbacée aux pétales rouge-orangé revient en bordure de champ ou de route.

  

   On associe souvent les coquelicots aux paysages champêtres et sauvages, les fleurs colorées égayant les prairies et les champs.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Il est rassurant d’apercevoir des coquelicots, car ce sont des plantes sauvages qui ont besoin d’un environnement favorable pour prospérer.


   Leur présence indique que l’écosystème local est en bonne santé et qu’il offre un habitat adéquat ; cela suggère également que d’autres espèces végétales et animales peuvent trouver refuge dans ces zones épargnées.

LE RETOUR DU COQUELICOT

 

Il n’aime pas les pesticides


   C’est une évidence : le coquelicot n’aime pas les pesticides.


   Il s’agit d’ailleurs de la raison principale de sa disparition du paysage rural, asphyxié par les engrais chimiques et les produits phytosanitaires aspergé à tout-va par les partisans de l’agriculture intensive.
 

   C’est ainsi que les coquelicots, comme les autres plantes des champs, à l’image du bleuet, ont été chassés des champs ; ils se sont alors réfugiés au bord des routes, dans les remblais ou les terrains vagues !


   Pour les paysans, ils étaient gênants car ils empêchaient le blé de bien pousser.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Actuellement, ils sont plus nombreux dans les champs car les herbicides utilisés aujourd’hui sont moins agressifs.

  

   Autrefois, un champ devait être pur, sans hôtes indésirables. Maintenant, les agriculteurs tolèrent un pourcentage de mauvaises herbes, qui n’a en fait de mauvais que le nom puisqu’elles sont au contraire bénéfiques, notamment pour la pollinisation.

  

   Ces adventices ont de sacrées stratégies de reproduction qui permet de se glisser parmi les céréales et de faire leur graines avant d’être fauchées.


   En effet, un coquelicot peut semer plusieurs graines, et donc faire naître des dizaines de plantes. Ces graines sont en outre capables de survivre dans le sol pendant plusieurs années, et le jour où elles trouvent des conditions favorables, elles germent.
De plus en plus d'agriculteurs qui souhaitent supprimer les pesticides redécouvrent les propriétés de cette plante.


   Et cette surprise, cette année, pour un céréalier adepte du bio depuis un an et qui n'utilise donc plus d'herbicides : au printemps, les fleurs sont apparues par centaines dans ses parcelles !

LE RETOUR DU COQUELICOT

 

 

Les coquelicots : des vertus pour le sol et notre santé
 

 

   Pendant des années, avec ses pesticides, l’agriculteur – et même certains jardiniers – faisaient la chasse aux coquelicots. Il n'y en avait aucun dans les champs, considérant les coquelicots comme une mauvaise herbe, nuisible pour les rendements. Mais aujourd'hui, il trouve que cette fleur a des avantages.


   Elle attire en effet les abeilles, mais pas seulement. Avec leurs racines pivotantes, les coquelicots permettent une bonne infiltration de l'eau dans le sol et une meilleure aération.


   Jolie, facile à faire pousser, la fleur est bien connue des petits et grands. Le coquelicot, avec ses pétales rouge vif et son coeur noir, est une fleur identifiable entre toutes.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Le coquelicot est une plante herbacée annuelle appartenant à la famille des papaveraceae, fleurissant au printemps et à l’été. Ses pétales peuvent s’utiliser à des fins médicinales, du fait de leurs propriétés apaisantes, antispasmodiques et analgésiques.
 

   La plante permettrait en effet de réduire le stress, de favoriser le sommeil et l’endormissement, ou encore de soulager les douleurs musculaires.

  

   Les extraits de pétales de coquelicot s’apparentent à un narcotique léger qui atténue les névralgies, douleurs dues à l’inflammation d’un nerf.

LE RETOUR DU COQUELICOT

 

SYMBOLE DE MÉMOIRE DES GUERRES

  

   Du soleil et très peu d’eau, le coquelicot s’accommode aussi de la sécheresse.

  

   Il n’aime pas l’ombre, vous ne trouverez jamais de coquelicot dans une forêt ou un endroit ombragé. Il lui faut du soleil.”


   C’est une plante symbole de mémoire des guerres et de la France (comme le bleuet et la marguerite).

  

   Il est également emblématique de la Grande Bretagne (the Poppys’day - célébration anglaise la semaine du 11 novembre). Souvenir des champs de bataille (notamment la bataille des Flandres, fin 1914), il est associé à la mémoire de ceux qui sont morts dans les tranchées, sa couleur rouge évoquant le sang versé.

  

   Des coquelicots ont été distribués à partir de 1921 pour venir en aide aux gueules cassées. Il est représenté dans les peintures, dont certaines sont très célèbres (Coquelicots, la promenade, peint par Claude Monet en 1873).

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Les coquelicots sont très photogéniques ; leur couleur attire particulièrement les coléoptères qui le pollinisent.
 

   Mais surtout admirez le coquelicot dans son environnement. Et surtout, ne vous avisez pas de le cueillir afin d’en faire un bouquet : sa fleur est si fragile qu’elle meurt presque instantanément !

 

 

 

ORNITHO
 

 

 

EN FAMILLE


Spatules blanches et Spatulons


(Platalea leucorodia - Eurasian Spoonbill)


  Dans leur nid construit dans les pins laricio de la Héronnière du Parc du Marquenterre, Maman Spatule s’affaire au nourrissage de ses trois petits, nés il y a environ trois semaines.


   Quant au père, il observe attentivement la scène tout en scrutant les abords, au cas où un individu indésirable viendrait à s’approcher trop près du nid !

LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT

   La spatule blanche, est l'un des oiseaux symboles du parc du Marquenterre -et du littoral picard- où l'espèce y niche depuis 2000.
 

   Aujourd'hui, c'est environ quatre-vingt couples qui nichent dans les pins laricio de la héronnière.


   Quelques couples sédentaires hivernent également sur le site.

 

 

(Distance de prise de vue ~ 100 mètres.
Canon R7 Obj. SIGMA 4/500mm + Ext 1,4)

LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT

 

 

MÂCHOIRES D’ACIER

 

 

LE GROSBEC CASSE-NOYAUX
 

(Coccothraustes coccothraustes – Hawfinch)

  

   Du fait de sa grande taille, de sa silhouette, de son plumage coloré et de sa grosse tête munie d'un gros bec - triangulaire noir bleuté au printemps et jaunâtre à l'automne - ce magnifique passereau est très facilement identifiable.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Sa silhouette penche toujours vers l'avant, paraissant légèrement disproportionné à cause de son cou très volumineux.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Les mandibules développent une puissance telle qu'elles peuvent casser jusqu'à des noyaux de cerises. La force délivrée à cette occasion est à la hauteur de l’équipement : on estime qu’il arrive à imprimer une pression mille fois supérieure à celle de son propre poids - pour un homme, cela donnerait une force de 60 …tonnes !-

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Pour briser un noyau de cerise, il faut une force de 27 à 40 kg ; on estime qu’il peut exercer une pression de 13 kg/cm2.


   Ceci explique d’une part son nom populaire mais aussi son étrange nom latin : Coccothraustes, formé avec le grec kokko pour noyau et thrauo pour « je brise en morceaux ».

LE RETOUR DU COQUELICOT

 

 

LE REBOISEUR DE NOS FORÊTS

 

 

GEAI DES CHÊNES

(Garrulus glandarius - Eurasian Jay)

 

   Sous son bec, il possède une petite poche dans laquelle il peut aisément ce qu'il récolte. Il peut ainsi stocker quatre à sept glands qu’il transporte avant de les cacher où il niche.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Tout au long de la belle saison, il constitue des réserves qu'il dissimule sous des racines, des mousses, ou à l'intérieur de souches d'arbre.

  

   Pour les récupérer, il a la capacité de mémoriser des points de repère qu'il observe méticuleusement.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Cependant si ses points de repères disparaissent, il devient incapable de retrouver la cachette de ses réserves, la moitié des glands enterrés germant et donnant une plantule apte à la survie.

  

  Il a été estimé qu'un seul Geai enfouit chaque année plus de 4000 glands, ce qui fait de lui le premier reboiseur européen de chênes et de hêtres !

 

LE RETOUR DU COQUELICOT

 

LA LINOTTE EN BAIE

 

Linotte mélodieuse
(Linaria cannabina - Common Linnet)

 

  

   Autrefois, ce magnifique petit passereau était capturé pour la consommation, mais à présent il est protégé par la loi.

   Quant à l'expression bien connue "tête de linotte", elle doit dater de l'époque où ces oiseaux étaient piégés. Les groupes de linottes devaient s'abattre sur les gluaux, attirés par la nourriture, et se prendre dans la glue.

   Et comme ce sont des passereaux grégaires, ils se faisaient piéger jusqu’au dernier, inconscients du danger.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Pourquoi les linottes sont-elles à l’origine de l’expression peu flatteuse : « tête de linotte » ?


   Il semblerait que dans les régions où l’on tendait des pièges pour leur capture, ils revenaient se faire piéger à l’endroit où leurs congénères se sont fait capturer auparavant.


   Cependant une autre affirmation prétend que c’est parce que cet oiseau installe un nid fait « à la va-vite » et proche du sol, sans trop sembler se préoccuper de le dissimuler aux yeux des prédateurs, d’où cette utilisation péjorative de son nom.

  

   … À vous de choisir !
 

 

LA PETITE CHOUETTE AUX YEUX D’OR

 

Chevêche d'Athéna
(Athene noctua - Little Owl)

LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT

 

 

 

EN ATTENDANT D’ÊTRE LIBRES

 

Faucon crécerelle
(Falco tinnunculus - Common Kestrel)

LE RETOUR DU COQUELICOT

  

 Ces cinq jeunes Faucons crécerelles attendent dans le nichoir le jour de leur liberté.

  

 Ces juvéniles seront volants dans quelques jours, cependant ils seront pris en charge pendant un certain temps encore par les adultes. Ils sont indépendants à deux mois environ.

 

  En règle générale, il n'y a qu'une nichée annuelle par femelle. En cas de perte précoce de la ponte, une ponte de remplacement peut être déposée.

  

  La mortalité des juvéniles est de 50 à 70% la première année. L'expérience montre que les couples nichant en milieu protégé, réussissent mieux leur reproduction que ceux qui nichent dans les arbres ou sur les pylônes.

 

INSTANTANÉS

 

 

 

ÉCUREUIL ROUX

(Sciurus vulgaris)

 P’TIT GOURMAND !

P’TIT GOURMAND !

 

JE PLONGE … OU PAS ?

 

LE RETOUR DU COQUELICOT
 SE RAFRAÎCHIR

SE RAFRAÎCHIR

 

 BELLE DES BOIS


… protégée de la chasse jusqu’en juillet 2023 … et après ?

 

 

Tourterelle des bois

(Streptopelia turtur - European Turtle Dove)


  

   La tourterelle des bois, oiseau migrateur dont la population a chuté de 80 % en Europe ces quarante dernières années, fait l’objet de mesures de gestion adaptative des espèces en France.

  

   Le nombre d’animaux pouvant être tués est fixé après expertise scientifique sur l’état de conservation de chaque espèce.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Un comité scientifique préconisait en 2019 de ne plus chasser la tourterelle des bois, ou, au pire, de tuer 1,3 % des effectifs estimés en France, soit 18 300 oiseaux à l’époque. En 2021, l’État avait donc décidé d’interdire la chasse de cette espèce jusqu’au 30 juillet 2022.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Après une consultation du public, et malgré une opposition du Conseil national de la chasse et de la faune sauvage, le ministère de la Transition écologique a prolongé cette interdiction jusqu’en juillet 2023.

 

À suivre …

 

 

SALE TEMPS POUR LES CAMPAGNOLS !


 

 

Faucons crécerelles juvéniles
(Falco tinnunculus - Common Kestrel)

 

   Le nourrissage des jeunes Faucons crécerelles, sortis du nichoir il y a très peu de temps, se poursuit dans la campagne picarde.
 

   L’un des adultes (plus particulièrement le mâle) apporte aux jeunes - sans même avoir de contact avec eux - une proie qu’il vient de chasser ; un campagnol des champs ou autre mulot.


   C’est le plus vif de la fratrie - souvent le premier éclot - qui s’en accapare … sans partage aucun !

  

   La période durant laquelle ils continuent à se faire ravitailler par les adultes varie au sein de la même nichée et d'un parent à l'autre, soit entre quinze et trente jours.

  

   Parallèlement, les juvéniles commencent à attraper des insectes au sol, puis en vol, car plus faciles à capturer que les autres proies, ils forment néanmoins une part substantielle de leur apport énergétique.

 

 

   Environ vingt jours après avoir quitté le nid, les jeunes font leurs débuts en vol du Saint-Esprit. Leur période d'apprentissage durera tout l’été et jusqu’à la fin de l'automne.

 

LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT

 

 

INDÉPENDANTS … ENFIN PRESQUE !

 

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Ces jeunes faucons crécerelles viennent de quitter le nid, soit un mois après leur naissance.


   Après de nombreux battements d’ailes afin de renforcer leurs muscles, ils se sont décidés la semaine dernière à faire le grand saut, quelque peu hésitant notamment pour le dernier éclot de la fratrie.

  

   Actuellement ils sont encore nourris par leurs parents. Cette période varie au sein de la même nichée et d'un parent à l'autre, soit entre quinze et trente jours.

LE RETOUR DU COQUELICOT
LE RETOUR DU COQUELICOT

   En même temps, les juvéniles commencent à attraper des insectes au sol, puis en vol, car plus faciles à capturer que d’autres proies, ils forment néanmoins une part substantielle de leur apport énergétique.

   

   Ils resteront encore dans les parages le temps de trouver leur propre territoire de chasse.

LE RETOUR DU COQUELICOT

   Devenu adulte le faucon crécerelle est un grand consommateur de petits rongeurs, particulièrement de campagnols, il est de ce fait un auxiliaire précieux en agriculture limitant ainsi leurs populations.


   Il est très agile et peut distinguer de petites proies comme des sauterelles à plus de cinquante mètres !

LE RETOUR DU COQUELICOT
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  • : Le blog de nature-ailes.over-blog.com
  • : Comme le suggère le titre , ce blog est consacré aux oiseaux , également aux animaux en général. ... Beaucoup de photographies et peu de textes ; priorité est donnée à l'image . Tous les oiseaux ou animaux présentés sont photographiés dans le milieu naturel où ils évoluent , parfois dans un parc ou réserve ornithologique , rarement dans un zoo - sauf mention spéciale - Je propose également dans d'autres rubriques , des images de fêtes populaires ou d'événements culturels .
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